Qui est Adamsberg? Quel est son grade dans la police? Où exerce-t-il ses fonctions? Pourquoi ne représente-t-il pas un policier ordinaire? Relevez des expressions significatives. Présentez ses « manies ».
Jean-Baptise Adamsberg est le nouveau commissaire principal de la brigade criminelle de la Préfecture de police de Paris, groupe homicide. Il est un petit homme, non remarquable. Il n’est pas bien habillé. Il est toujours sobre.
Il aime marcher, rêver et faire. Il n’aime pas les papiers. Il a des difficultés à se souvenir des noms. Il n’aime pas la paperasserie et il n’aime pas les ordinateurs.
Il dit souvent : Je me demande si à force d’être flic, je ne deviens pas flic.
Il a d’humanité, il écoute les gens, contrairement à ses collègues. Il est sympathique.
Sa lenteur physique contraste avec son esprit vif. De temps en temps il s’endort dans son bureau.
Qui est Danglard? Quel est son lien hiérarchique avec Adamsberg? En quoi sont-ils différents? Que sait-on de son passé?
Il est l’adjoint d’Adamsberg, il est un lieutenant, promu capitaine. Muté à la Brigade, Adamsberg s’était battu pour emporter Danglard avec lui. Danglard aime les papiers sous toutes ses formes. Il aime les argumentations, pas les rêves. Il est un type concentré, un anxieux au corps mou. Il a des idées d’un type tout différent d’Adamsberg. Il a un esprit organisé. Il est abandonné par sa femme et il boit beaucoup d’alcool.
Quels faits rapprochent le vieux lettré, Décambrais, du marin-crieur, Joss? Quelle est la véritable identité du vieux lettré?
Joss et Decambrais discutent les messages étranges. Joss peut occuper la chambre libre dans le pension de Decambrais. Decambrais connaît le prof d’histoire de Joss, c’était Yann Ducouëdic. Le vieux lettré a une fausse identité, il est Hervé Ducouëdic, né à Tréguier, il a soixante-dix ans, il est le fils de Yann Ducouëdic. En fait, il est aussi un breton, comme Joss. Et il a aussi un casier, comme Joss. Il a fait le prison pendant six mois.
En quoi consiste la « double vie » de Lizbeth?
Lizbeth est une jeune femme noire, elle est arrachée à douze ans du ghetto de Détroit, puis elle est devenue prostituée.
Elle est recueillie par Decambrais. Elle a reçu une chambre dans sa pension et elle aide avec le ménage, le diner des pensionnaires, les courses, le service.
Tous les soirs sauf le mardi et le dimanche, elle sort en tenue de soirée, parce qu’elle chante dans un cabaret. Elle a un voix à couper le souffle. Elle fait salle comble tous les soirs au Saint-Ambroïse.
Qu’apprend Adamsberg en interrogeant Maryse? Comment réagit-il tout d’abord? et ensuite? Qu’est-ce qui motive ce changement de comportement?
Maryse habite un immeuble où les portes ont été peint avec les « 4 ». Elle va au commissariat et informe Adamsberg de ses faits. Sur un carnet elle doit dessiner les fameux « 4 ». Adamsberg écoute avec attention l’histoire et après le départ de Maryse, il dépose les feuilles du carnet dans la poubelle.
Le lendemain, Maryse revient et elle raconte qu’elle a lu dans un journal de quartier qu’il y a d’autres immeubles qui avaient été couverts de « 4 » sur toutes les portes.
Dès ce moment, Adamsberg est vraiment intéressé et Maryse doit raconter toute l’histoire de nouveau.
Quel lien existe-t-il entre les chiffres et les annonces ? Qui donne cette information?
Les annonces spéciales sont des textes de la peste d’un journal intime durant neuf années de Samuel Pepys. Ce sont des textes annonciateurs de peste. C’est Decambrais qui a trouvé cette origine des annonces.
Le « 4 » à rebours est une reproduction exacte du chiffre dont on frappait autrefois les portes ou les linteaux des fenêtres en temps de peste. C’est Camille qui a vu le « 4 » à l’envers chez Marc Vandoosler, dans un de ses livres.
Donc la peste est le lien entre les chiffres et les annonces.